Bonne rentrée à tous !

Bonne rentrée à tous !

Bonne rentrée à tous ! Tous mes vœux de réussite à tous les petits et grands Saint-loupiens pour demain jour de rentrée.
Aujourd’hui nous célébrions la libération de saint leu il y a 81 ans. Pensons toujours à ceux qui ont défendu et défendent aujourd’hui notre liberté.
La Grille Saint-Loupienne

La Grille Saint-Loupienne

proposée par nos adhérents
1.Equipement d’agglomération
2.De Beauharnais
3.Lieu perché
4.Square central
5.Quartier du Sud
6.Compliqué à Saint Leu
7.Rue, ruelle, passage
8.Né à Ajaccio
9.Processus démocratiques
10.Rue du Sud menant à elle
11.Point de rencontre avant la forêt
12.Maison des Loisirs et de la Culture
13.Ancien Maire 14.Quartier en pente
15.Samedi et mercredi
16.Compliqué à Saint-Leu
17.Lamoureux, des Navets, aux Boeufs
18.Club en lisière de forêt
19.Petites et Grandes à Saint-Leu
20.Point central
21.A plus d’une tour dans son sac
22.Quartier du Sud
23.horiz Multiples à Saint Leu
23.vert Souvent très discuté
24.Emile célèbre à Saint-Leu
25.Traverse Saint-Leu
26.Madame, des Bretoux et d’Apollon
27.Maison des Arts Martiaux
28.Relie Louis Blanc à Boissy
29.Nombreuses à Saint Leu
30.Sous l’église
La Grille
Saint-Loupienne

Projet de quartier des diablots-Intervention de Franck BERNARD

Projet de quartier des diablots-Intervention de Franck BERNARD

Vous étiez le représentant du groupe JVSL à la commission municipale. Quelle a été, selon vous, la méthode employée par la mairie pour élaborer ce projet ?
Franck Bernard : En 2022, Madame la Maire a présenté un avant-projet en réunion publique sans véritable concertation :
on y comptait 19 immeubles, soit près de 600 logements
– la copie quasi conforme du projet de 2011 (voire nos
parutions sur le sujet site faisonsbouger‑stleu.fr). Après notre mobilisation de 2023 – tracts, visites de terrain – elle a reculé et annoncé la création d’une ZAC, limitant officiellement la capacité à 350 logements. Mais, honnêtement, on continue de naviguer à vue : toujours pas de documents stabilisés ni de vraie discussion avant la présentation prévue le 28 juin.

Comment s’est déroulée la sélection du promoteur ?
Franck Bernard : Lors de la première réunion, la ville – épaulée par son prestataire – nous a expliqué les règles. C’est une concertation, pas un appel d’offre : donc sept promoteurs contactés, mais sans révéler leurs noms ni le cahier des charges. On apprend ensuite que quatre ont répondu. À la deuxième séance, on voit un classement anonyme avec des notes attribuées par la mairie et son prestataire. Enfin, à la troisième, le promoteur arrivé en tête est validé à la majorité ; toutes les oppositions se sont abstenues parce qu’on ne pouvait pas garantir un traitement équitable, le collège électeur avait bien été verrouillé. Transparence ? Zéro. On a vraiment l’impression que le résultat était déjà écrit.

Quel est aujourd’hui le contenu du programme ?
Franck Bernard : On nous parle de quatre composantes : 200 logements, 2 000 m² de commerces, des espaces verts et des voiries. Sur le papier, c’est tout à fait acceptable. Le problème, c’est qu’aucune garantie juridique ne verrouille ces chiffres. Rien n’empêche un glissement futur vers plus de
logements et moins d’espaces verts. Je crains un grand plan de communication le 28 juin : de jolis panneaux, beaucoup de vert, et le logo du promoteur choisi. Tout sera différent si des contraintes extérieures comme l’Etat avec le préfet, la région, nous forcent à rouvrir le PLU. Et c’est bien ce qui est prévu.

Quel calendrier la municipalité avance‑t‑elle ?
Franck Bernard : Il reste une réunion de commission le 20 juin pour choisir entre 3 projets architecturaux, puis la grande présentation le 28 juin – juste à huit mois des municipales de mars 2026. Après cela, même si tout roulait, on parle d’une livraison finale vers 2031-2032… et encore, à condition qu’aucun paramètre ne change.

Quelles leçons retenez-vous de cette séquence ?
Franck Bernard : J’en vois trois :
Un projet électoral. L’opération tombe à pic, alors que le dossier n’a guère avancé depuis trois ans, comme par hasard.
1/ Aucune garantie financière pour la ville. Rien n’est signé ; les contreparties sont faibles et peuvent évoluer au détriment des habitants. Surtout que Madame Le Maire se garde bien d’expliquer les menaces.
2/ Un horizon incertain. Même en 2031-2032, rien ne dit qu’on restera à 200 logements : le contrat avec le promoteur n’est pas encore contractualisé.
3/ En clair, le futur quartier des Diablots est trop important pour être décidé dans la précipitation. Nous demandons une véritable concertation avant qu’il ne soit trop tard.
Une opération de communication et de manipulation à simple visée électoraliste.

Éclairage sur la vie politique de Saint-Leu

Éclairage sur la vie politique de Saint-Leu

À Saint-Leu-la-Forêt, le paysage politique s’organise désormais autour de quatre blocs distincts, témoins d’un équilibre local en pleine recomposition.
Un bloc central s’est affirmé ces dernières années autour de  JeVoteSaintLeu et faisons bouger St Leu, menés par Franck Bernard, représentant du parti Horizons dans la commune depuis 2022. Soutenu par les forces du centre comme Renaissance et le MoDem, ce groupe poursuit depuis 2019 une stratégie d’élargissement et de structuration locale.

La gauche, quant à elle, s’incarne dans le groupe Décidons Autrement Saint-Leu, emmené par Loïc Vidal, conseiller municipal et membre de Génération S. Cette coalition réunit diverses sensibilités allant du Parti communiste au Parti socialiste, en passant par les écologistes et d’autres forces progressistes.

Deux blocs de droite s’opposent désormais frontalement. D’un côté, la (courte) majorité municipale conduite par Sandra Billet (Divers Droite), Maire en place depuis 2017, héritière de Sébastien Meurant, qui est aujourd’hui représentant de l’Union des Droites d’Éric Ciotti sur le département. Il avait dirigé la ville de 2008 à 2017. Ainsi fragilisée, cette majorité ne tient plus qu’à un siège. De l’autre, un groupe dissident baptisé Unis pour Saint-Leu, composé de huit anciens membres de la majorité, passés dans l’opposition l’an dernier. Ce groupe affiche une ligne critique vis-à-vis de la Maire et semble prêt à soutenir le retour de Sébastien Meurant, désormais candidat déclaré sous l’étiquette J’aime Saint-Leu.

Retour sur le dernier Conseil Municipal de samedi 12 juillet

Retour sur le dernier Conseil Municipal de samedi 12 juillet

Retour sur le dernier Conseil Municipal de samedi 12 juillet. Nous avons attendu en vain des réponses concrètes sur le fond de l’accord entre La Mairie et le promoteur NEXITY. Retrouvez l’ensemble des discussions du Conseil au lien en commentaire.
Lorque nous parlons de garanties financières, d’engagements de réalisation, de marges de pénalités d’éviction, de pénalités de non réalisation… le flou et l’approximation s’installent. On nous vend des belles images, l’incongruïté de questionner le montage de cette opération comme si les oppositions s’opposaient au projet (alors que c’ est grace à nous que la jauge a été baissée), pour mieux dans l’ombre s’arranger. Où est la mise en concurrence ? Quelles contreparties négocions-nous ? Absence de pression sur le promoteur ? A qui cela profite-t-il ?
Nous continuerons à poser ces questions et nous avertissons déjà les patrons du promoteur NEXITY que dès fin mars 2026 nous renégocierons une fois les élections passées.